“Une pièce sublime qui éclaire le destin extraordinaire d’une artiste féministe…
la pièce de Wendy Beckett nous donne envie de replonger dans les cahiers d’Anaïs Nin.”

“Voici un bon bout de temps que je n’avais vu un aussi beau décor et d’aussi réussis et somptueux costumes. Visuellement aussi, c’est un régal...
Cette évocation dramaturgique de « l’une des vies » d’Anaïs Nin est donc une vraie et incontestable réussite.”

“Célia Catalifo, Mathilde Libbrecht et Laurent Maurel vont être respectivement les impressionnants Anaïs, June et Henry...
Wendy Beckett nous montrera subtilement les progressions sensuelles et amoureuses pour arriver à deux scènes d’amour et de sexe très intenses, très réussies...
Laurent d’Olce est lui aussi épatant, notamment dans la dernière scène où les rôles s’inversent entre le thérapeute et sa patiente. Un magnifique transfert.… Nous comprendrons alors le poids écrasant du père de l’auteure.”

“La scène des retrouvailles entre le père et la fille est d’une poésie et d’une puissance incroyables, tout à la fois pathétique et émouvante...
Laurent D’Olce y est magnifique.
… une mention particulière aux scènes d’amour, très réussies, ballets érotiques extrêmement bien chorégraphiés...”

“Si vous ne deviez voir qu’une seule pièce durant la saison
.… ne laissez surtout pas passer celle-ci, laquelle se situe au summum de ce qui - sur scène - peut nous être présenté.
Les costumes aussi nombreux que somptueux allient l’élégance au caractère…
Grâce au double talent d’auteur et de metteur en scène de Wendy Beckett nous allons pénétrer dans cet univers aussi passionnel que passionnant.
”

“Sur scène, ces rapports libres, formidablement complexes, moteurs essentiels de l’écriture, sont dessinés avec classe par un trio d’acteurs à la redresse...
Laurent Maurel propose un Miller pétillant, gentiment maquereau. Mathilde Libbrecht dessine June en relief, jusqu’à en faire un beau personnage de garce insaisissable. Célia Catalifo en Anaïs Nin, c’est tout un poème.”

“L’élégance contrastée des costumes féminins, la souplesse des deux comédiennes, le rythme des dialogues soutenu par la musique, tout concourt au charme de cette évocation.”

“L’atmosphère des années 30, la liberté et la volupté d’une génération affranchie, sont au final fort bien restituées et réjouiront le public de notre temps…”